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Estelle Sämson
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Estelle Sämson
15 mars 2014

Présentation d'Estelle Sämson en projet 2014

 

Estelle Sämson est Sculpteure de Processus vivants, diplômée des Beaux arts de Rennes, elle travaille en Bretagne, à Paris sur le bitume, dans la forêt des Côtes d’Armor ou dans les étendues du Canada, partout où les formes qu’elle propose prennent un sens.

Elle est également diplômée de l’Université de Rennes en Art et Poétique, pour étayer au plus juste ses propositions plastiques à une théorie pensée et écrite.

Depuis plusieurs années, elle fait des conférences à Paris à l’Ecole Normale Supérieure dans le cadre des conférences « Friches et soutainements », à Marseille à la Friche Belle de Mai pour l’Art et l’écologie humaine au Musée Montparnasse dans le cycle « Hommage au vivant ».

Sa recherche plastique est liée à sa recherche théorique sur le vivant et les médiums utilisés sont tantôt la sculpture, l’installation ou la performance, ses photos, ses films, ses clips vidéo, ses sculptures vivantes, mêlent la

nature restante à la culture des hommes, la performance est complices de ces propos sur l’art et la société.

Le vivant, le naturel, le végétal, le minéral, les nouvelles technologies, la nécessaire main de l’homme rappelant la nécessité du dialogue de la pensée de la nature intégrale (selon Restany et Krajberg, Thoreau), la place de la modernité, de l’urbanité et de l’industriel, celle de l’écologie humaine sont questionnés.

Elle révèle, discute, affirme cette incessante et nécessaire question de l’homme face à ses choix , elle lie les formes de Mondrian, Klein partis dans l’abstraction moderne aux contenus des sculpteurs comme Krajberg, Giuseppe Penone et Joseph Beuys.

Estelle Sämson croit à la pensée acerbe et tranchante des sculpteurs comme Joseph Beuys, du critique Pierre Restany dont les apports théoriques sont de véritables manifestes pour réfléchir ensemble à l’humanité de demain.

« Picnic « Galerie Fraîch’Attiude, Paris 2003, tourbe et orge

A la Galerie Fraîch’Attitude à Paris 127 m de blé seront installés sur les trottoirs, la ligne verte prolifère à l’intérieure des espaces, ressort dans la cour, pour finir sur des statues de lions symboles de la propriété des hommes.

A Plérin, en 2012, dans le cadre de la semaine du développement durable elle installe un tapis de blé, une chaise qui invite à s’installer à côté de l’ herbe qui pousse, le spectateur est assis sur la

chaise à côté, sous lampe UV ce soleil artificiel , l’homme et le végétal voient ensembles défiler sur le mur les clips vidéos d’une année au jardin, des moments poétiques d’un espace clos devenus jardin ou insectes, ou avions, ou enfants qui crit et les végétaux .Une rencontre insolite.

«Ceci n’est pas une utopie », blé, lampe UV, clips vidéos , PLERIN, 2011

Au Centre d’Art de la Criée à Rennes, Estelle Sämson obtient le Prix Art et saveurs de Bre- tagne, qui prime une œuvre qui lie l’Art contemporain, la gastronomie et la Bretagne, avec « Princesse de Bretagne » une robe en gril- lage de poule, cageot et légumes portée par une jeune femme elle s’offre le luxe d’être sponsorisé par l’entreprise maraîchère Prince de Bretagne qui reste à ce jour son partenaire et mécène. Cette robe/sculpture devient une perfor- mance convolant aux quatre coins de la France. En 2013 , la performance devient film de 14mn

« Les reliques de la Princesse de bretagne, Qui accompagne une installation faite d’un trytique de photos de 80X120 cm et de blocs de Verre comprenant le corset, la robe et les chaussures de la dite « Princessse ».

Film 14 mn Performance de La Princesse de Bretagne Plérin 2012

«Les Reliques de la Princesse de Bretagne» 2013

Estelle Sämson enseigne le dessin, une expression qu’elle a abouti pour elle même en 2014, un processus créatif qui a démarré aux Beaux Arts de Rennes en 1997. Ses dessins sont l’essence de sa pensée, des corps sont végétaux et des végétaux deviennent homme. L’usage de matériaux naturels augmente l’icographie des dessins. Estelle Sämson a commencé par de petits formats qui aujourd’hui sont au nombre de 18, son pro- jet en compte 28, un par jour de cycle de la lune. Elle en prévoit tout autant en grands formats. Elle exposera pour la première fois ses œuvres dessinées qui seront au nombre de 46 à la Pommerie.

Une nouvelle installation accompagnera ces œuvres murales. « L’écoumène dans l’érème » un tapis de de mousse de forêt, des chaises moussues, à l’intérieur, accompagnés d’une vidéo réalisée dans la forêt voisine, des images et des mots nés de cette rencontre entre l’artiste, son œuvre, l’érème et l’écoumène, la nécessité de dire présentée sous la forme d’une vidéo projetée sur le mur du fond de la grange Appelbaum, la relation de l’homme à son environnement, ses paysages, ses hommes . Cette installation pourra être habitée le temps d’une performance par un circassien Valia Beauvieux mêlant ainsi un corps en mouvement( http://www.youtube.com/watch?v=u7mgPO3vTRs performance d’un corps sur la tourbe), à lérème et l’écoucoumène sous l’oeil de la faune réprésentée par une vache limousine ou des moutons du limousin et de la flore représentée par les sphères de mousse de forêt, installées dans l’herbe.

L’écoumène dans l’érème 2014

L’écoumène dans Installation / vidéo /son / 2014

l’érème La Pommerie

Ecran avec vidéo clips

Lampe UV

Installation de chaises de mousse de forêt

Boule de mousse de de 150m

Vache limousine

Trois autres boules diam 1m diam 0,80 m diam 0,70m

 

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